Il est des moments où les heures filent sans qu’on les voit passer, sans qu’on ait même l’impression de les avoir réellement vécues. Il arrive que les jours, se succèdent à une vitesse folle, ne laissant en mémoire que quelques souvenirs fugaces.

Mais parfois, les secondes s’étirent à n’en plus finir et chaque minute semble durer un siècle. Les aiguilles de ma montre continuent d’avancer mais tout reste figé. Comme si le temps avait coincé un pan de son manteau quelque part et peinait à s’en dégager.

Le tic tac de mon horloge, pourtant, est toujours aussi régulier. Ce doit être mon coeur qui fait office de chronomètre, égrenant le temps à sa guise.

2 Réponses vers “”

  1. Premièrement tout ceci m’évoque Dali.

    ( Quelle jolie reference n’est ce pas ?)

    Avec ces horloges emportées par le style graphique inexorablement discontinu de l’artiste torturé par le temps.

    Un peu comme ce concessionaire automobile qui m’a vendu une voiture de COULEUR NOIRE, et qui lui sans doute ne connait pas vraiment Dali vu qu’il a un bac +2

    Le tic tac de ton horloge ne serait il pas celui de ton horloge biologique, tel les folicules qui tracent le cadran de tes ovaires

    et .. pour bien finir je vois une mouche qui marche sur mon mur, ET QUI SE PREND POUR UNE PUTAIN D’ARAIGNEE !

    Sur ce, j’arrête de faire le pitre. bisous !

    PS: on se voit

  2. Pardon mon clavier a fourché

    Je disais, on se voit au prochain paris carnet 😉

    Ton admiratrice la plus fervente ( oui )

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