Quand je tombe, c’est toujours pour mieux rebondir. Relever la tête et voir au-delà de l’horizon. Transformer mes faiblesses en forces.
Je n’ai jamais cessé de croire en ma bonne étoile. Même les jours où son éclat ternissait un peu. Même lorsqu’elle était cachée par la brume. Et aujourd’hui, elle brille plus que la lune.
Aujourd’hui l’avenir me tend ses bras et je me sens plus forte, plus libre que jamais.
mercredi 25 juin 2008 à 10:12
Hmm, qui l’eût cru ? Ca sonne comme si tu étais en rémission permanente d’un cancer.
mercredi 25 juin 2008 à 15:26
Pas de cancer à l’horizon. Je me suis simplement rendue compte que mon précédent blog regorgeait de textes dépressifs au possible parce qu’à l’époque je n’écrivais que quand j’allais mal. Maintenant, je veux écrire aussi quand je vais bien.
jeudi 26 juin 2008 à 02:32
Rémission permanente d’un cancer, ça signifie que le cancer est derrière toi, pas devant toi (bref t’as loupé le second degré). La question alors c’est de quoi te sens-tu à ce point libérée ?
Et puis qu’est-ce qu’on en a à foutre de savoir si ce que tu écris était dépressif ou gai ? L’écriture c’est la science imparfaite du vrai, du ressenti, de l’authentique. Ou alors cette déclaration signifie que d’une façon ou d’une autre tu te forces à paraître heureuse parce qu’être différemment te répugne ? L’important c’est d’écrire, pas savoir quelle impression ça donne.
samedi 28 juin 2008 à 21:43
Puisque écrire c’est ressentir, alors ce ressenti est propre à chacun.
Sortir une jolie phrase pompeuse comme si c’était une vérité absolue a quelque chose d’un peu ridicule.
« L’important c’est d’écrire, pas savoir quelle impression ça donne. »
Ah oui ? Pourtant beaucoup d’auteurs sont concentrés avant tout, justement, sur « l’impression que ça donne ». Mélancolie, bonheur, tristesse, joie…
Je pense que l’écriture est la science du vivant avant d’être imparfaite ou authentique.
A ce titre elle ne ressemble qu’à celle ou celui qui écrit.
Dans son but, comme dans sa perception par le lecteur.