Certaines amitiés sont comme des évidences. On ne les choisit pas, elles s’imposent d’elles mêmes. D’habitude, ça prend du temps : au début c’est fragile, et puis ça se construit petit à petit, au fil des moments partagés. Là, c’est comme si on se retrouvait d’office avec un bloc de béton armé. Tout est déjà là et chaque instant avec l’autre ne fait que le confirmer. Finalement, on se reconnaît plus qu’on ne se découvre. Et quel que soit le nombre de jours, de semaine ou de mois qui s’écoulent entre chaque rencontre, le lien ne faiblit pas, ne ternit pas. Il est indépendant du temps qui passe, absolu. Pas besoin de preuves ou de promesses, on le sait, c’est tout.
mardi 18 août 2009 à 11:10
❤
mardi 18 août 2009 à 12:19
One of a kind match… 🙂
mardi 18 août 2009 à 13:16
Arf ! Je suis désolé mais je ne ressens pas exactement la même chose, o nest juste des connaissances, toi et moi, ok Klaims ? Laisse-moi tranquille, maintenant.
mardi 18 août 2009 à 15:16
mais jsuis ton frere, pas un ami…. quelle deception
– et honte au clavier QWERTYUI des cretois –
mardi 18 août 2009 à 15:41
@Audric : mais oui, toi tu es mon petit parpaing ^^